ANNEE 2013


22è Printemps du livre YENNE 6 avril 2013


Nous voici donc réunis pour ce 22è Printemps du Livre, organisé conjointement par la Municipalité de Yenne et la SAS. Cette dernière, née il y a 22 ans est forte aujourd’hui de plus de 140 membres, écrivant dans tous les domaines possibles de la poésie à l’Histoire, de l’essai à la bande dessinée, du roman aux livres pour enfants. Nous sommes très heureux d’être là aujourd’hui pour défendre, ensemble, monsieur le Maire, le livre la lecture et le patrimoine écrit savoyard.

 

Vous savez tous que les auteurs aiment à triturer la langue française qu’ils chérissent particulièrement ; aussi je ne dérogerais pas à la coutume.

 

Un jour inconnu, me promenant sur les rives de l’Iaxarte, couvertes d’ibérides, mais où jamais un Ibère hiberna, alors qu’un vol d’ibis immigrés d’un iceberg incolore s’empiffrait d’ichneumonidés, je rencontrais un icoglan, venu d’Icolum et point iconoclaste, mais spécialiste de l’icosaèdre. C’était également un très grand iconologiste spécialiste de l’idéographie. Il me raconta qu’il était en réalité idiosyncrasique, qu’il avait parcouru l’Idmée et rencontré des êtres ignivores.

Desiguanodons lui dis-je. Des ichthyosaures peut-être ?

Non, affirma-t-il le sourire aux lèvres : des  Ichthyornis…

Soudain pris d’un ictus et ne voulant point  montrer mon ignorance, car je n’étais ni ignorantin, ni immotivé, mais bien un imparidigité impavide et non incarnat, je me montrais inchoactif et indévot, mais point indianiste, mais adorateur des indigètes.

L’indomptable icoglan se montra inductant et inébranlable, sans être infatué car il avait l’indult pontifical. Modeste, mais inflexible, il dériva sur l’inexprimé, sur l’infécond infantilisme des hommes. Et il s’ingénia à instiller en moi l’inexpugnable, voire l’inextricable et infaillible idée qui le taraudait.

S’arrêtant brusquement et regardant vers le fleuve, il affirma incontestablement que l’iceberg qui dérivait devant nous était un inlandsis possiblement inhibiteur. Puis il revint vers l’inoffensif indévot qu’il voulait initier. Mais je n’était point infudibuliforme. Alors, l’infatigable icoglan de l’Indighirka haussa les épaules et s’en retourna sans d’indigner.

Cette rencontre restera pour moi inoubliable, tout autant que cette journée de Yenne.

Je voudrais remercier vivement Jean Marie Terron et Monsieur Gandin ainsi que toutes celles et ceux qui avec eux ont œuvré pour cette belle réussite. Je vous souhaite à tous un excellent 22è Printemps du Livre sur les rives du Rhône à défaut de l’Iaxarte. Merci à tous

Michel GERMAIN.


3è mai de la Francophonie

 

Gentes dames,

Gentes damoiselles et damoiseaux,

Mes seigneurs, tous édiles, échevins et gens de biens…

 

            Me voilà, sans coup férir parmi vous, nonobstant la chevauchée sous l’astrée qui me mit trois jours durant le cul sur la selle. Poussé par l’aquilon, j’ai franchi moult crapaudières, mais n’ait point pris le temps d’une croustille, encore moins d’une crevaille, ni même de me relasser, la ripopée à la main au fond d’une pelle à cul. Il me pressait de vous voir tous esbaubis, vous qui aimer tant vous embouquiner. Demain, nous ferons gogaille, tous ensemble, si Dieu le veut, car je ne suis ni abigoti, ni abstène.

Si l’affaire urgeait tant, en ce temps de l’an de grâce 1539, c’est qu’il y a  trois matinées de cela, le jour de notre bon roy Saint-Louis, j’étais aux côtés de sa très grande Majesté François de Valois, premier du nom. J’eus l’insigne privilège, non point chattement mais ouvertement, gentes dames et mes seigneurs, d’être « à l’ordonan du Roy sur le faid de justice ».

Sa Majesté ordonne doresenavant :

Que les arretz soient clers et entendibles, et afin qu'il n'y ayt cause de doubter sur l'intelligence desdictz arretz. Nous voulons et ordonnons qu'ilz soient faictz et escriptz si clerement qu'il n'y ayt, ni ne puisse avoir aulcune ambiguite ou incertitude, ne lieu a en demander interpretacion.

De prononcer et expedier tous actes en langaige françoys, Et pour ce que telles choses sont souventes foys advenues sur l'intelligence des motz latins contenuz es dictz arretz. Nous voulons que doresenavant tous arretz ensemble toutes aultres procedeures, soient de nous cours souveraines ou aultres subalternes et inferieures, soient de registres, enquestes, contractz, commisions, sentences, testamens et aultres quelzconques actes et exploictz de justice ou qui en dependent, soient prononcez, enregistrez et delivrez aux parties en langage maternel francoys et non aultrement ; »

Voilà mes seigneurs, c’est faictz, la langaige françoyse concourt à l’accroisement des sujets du royaume. On se remémorera encore longtemps de ce bourg royal de Villers-Cotterêts. Oncques viendra ni s’atêter, ni s’arrièrer. Conjouissons, contre-à-contre, sans courrailler, ni dégogner à pareille joy.

 

            Et pourquoi, gentes dames et messeigneurs, pareil édict royal entre chez nous, car il n’y a point céans ni pétoffe, ni pasquille, encore moins brinborion ? Faut-il vous remettre en teste que notre Savoye chérie, depuis trois années est passée sous la férule françoyse ? Fait-il vous faire ouïr que le jour prochain, où son Altesse  Emmanuel Philibert, œuvrant pour l’empereur Charles Quint, recouvrira ses états, il conservera, sans opposite, cet édict françoys : curés, vicaires, secrétaires de maisons religieuses et autres grattes papiers devront rédiger l'inscription des actes de baptesmes ainsi que des sépultures en françoys. Mieux, gentes dames et mes seigneurs, les édicts de nos princes ou prélats seront à toutes forces en françoys et sans happelourde.

            Et je suis sûr que cet édict, sans apostille, ni arrière-sens, sera encore longtemps en cours dans notre Savoye. Je ne suis point balivernier, ni baragouineur, mais j’aime bavardiner non point pour faire jaillir des bernicles, mais pour bien dire, comme vous tous ici accointés pour cette fête de la francoyfonie. Tous bigarrés, mais tous bien-disants, et onc badaudaille, aimant le cattaglotisme, fuyant la calembredaine, refusant de débagouler ou de débiner car comme moy, vous estes de grands logophiles et non point des lantiponeurs. La langaige françoyse est nostre raison d’estre.

Remémorez-vous, gentes dames et mes seigneurs, qu’en l’an de grâce 1539, le 25è jour d’aoust, le roy Françoy 1er introduisit définitivement la langaige françoyse en Savoye et qu’en ces temps de SMS, cela ne change rien à l’affaire. « La langue est un théâtre dont les mots sont les acteurs… », dira un jour fort lointain messire Brunetière.

Bien que fort alangui par le voyage, je remercie du fond de moi-même, tous les gentes et gens de bien et austres, qui œuvrèrent depuis l’an passé pour faire de ce forum de la francoyfonie une grand et belle feste, pleine de joy et de réussite. Un grand maci tout particulièrement à la gente dame Geneviève Biffiger et à messires Michel Berthaud et Léo Gantelet, pour leur oeuvrement. Grand maci tout pareillement à toutes les gentes dames de l’édilité qui soutinrent le dit oeuvrement et tout particulièrement madame l’édile princept Camusso.

Et ne soyez point désolés de voir le vieux français ficher le camp.

Je vous remercie tous de m’avoir ouï sans m’accagnarder et je vous souhaite un heureux troisième Mai de la Francophonie. Merci à tous…

 Michel Germain

Moine barnabite, par ailleurs historien

May 2013


NECROLOGIE

décès de Gilbert Durand et Joël Labonne


Gilbert Durand s’est éteint le vendredi 7 décembre 2012. Il était né le 1er mai 1921 à Chambéry. Engagé volontaire en 1940 dans les F.F.L., chef  départemental du réseau Gallia Katanga et du 5ème bureau de l'Armée Secrète, il est arrêté par la Gestapo. Libéré par les F.T.P. après 8 mois de détention le 24 août 1944,i l devient attaché au cabinet du général  Joinville. Démobilisé, il reprend ses études et, en 1947 il est agrégé de philosophie, puis docteur es-lettres en 1959.

Discipline de Gaston Bachelard, il publie en 1960 sa thèse de doctorat "Les structures anthropologiques de l'imaginaire" rééditée 11 fois et traduite en 8 langues. Gilbert Durant apporte un nouveau regard sur l'Homo Sapiens devenu Homo Symbolicus et nous propose une véritable métaphysique de l'imaginaire, non plus fondée sur la raison ou la logique mais sur la liberté imaginaire qui, pour lui est créatrice des structures fondamentales de l'être humain.

Philosophe résidant à Moye, en Haute-Savoie, il est, à partir de 1962, professeur à l'université de Grenoble, où il crée le cursus de sociologie.  Il fonde en 1966 le Centre de recherche sur l'imaginaire. De 1962 à 1982, il est membre du Comité Consultatif des Universités auprès  du Ministre de l'Education Nationale et membre du Comité National du C.N.R.S. de 1980 à 1984. Doctor honoris causa de l'université de Lisbonne en 1989, il est aussi vice-président de l'université Saint-Jean de Jérusalem et membre de l'Académie de philosophie d'Iran... Malgré toutes ces activités, il trouve le temps d'écrire et de publier un nombre incalculable d'articles. Auteur de 350 publications dont une quinzaine de livres traduits en dix langues, il est deux fois lauréat de l'Académie Française. Il a participé à un très grand nombre d'ouvrages collectifs. Professeur honoraire de l'Université de Grenoble, Gilbert Durand est Commandeur de la Légion d'Honneur, Officier du Mérite de la République italienne, médaillé de la Résistance, médaillé des Déportés Internés, récemment médaillé des "Justes parmi les Nations" et Commandeur dans l'Ordre des Palmes Académiques.

Pour nous, à la Société des Auteurs Savoyards, il a reçu sur le Plateau des Glières, la Plume d'or 2002. Membre d'honneur de la  Société des Auteurs Savoyards, Gilbert Durand restera pour toujours dans nos mémoires.


Joël Labonne s’en est allé cette année 2012.  Il était entré à la SAS, voilà 5 ans et avait fait l’unanimité autour de lui avec sa gentillesse et son sourire entrainant.

Il était en 1948 à Grigny, sur les bords du Rhône. Sa passion pour la montagne remontait au jour où, au cours d'une sortie scolaire, son instituteur lui avait fait découvrir l'escalade. Il avait alors 9 ans et savait dorénavant qu'il serait guide et moniteur de ski. Après un détour par un lycée hôtelier, où il se distingua en gagnant des concours de cuisine et de pâtisserie, il devint moniteur de ski, puis accompagnateur en montagne. Il s’est installé en Haute Savoie en 1968. Il s’est spécialisé dans l'organisation de randonnées de plusieurs jours et de treks. Il a parcouru beaucoup des montagnes et des déserts de glace et de sable du monde. Il reste l'auteur de quelques premières en ski extrême. Handicapé par une maladie, il se consacra alors à des activités plus paisibles. Il fit partager ses émotions, ses rencontres et ses souvenirs à travers des expositions photo et quelques ouvrages.

Le plus important pour lui fut De l'infarctus, au Mont Blanc. Petit manuel à l'usage des cardiaques et autres bedonnants. Editions "Le Manuscrit" Paris (2009). Il aimait envoyer à tous les membres de la SAS des billets d’humeur.

Son souvenir plane au-dessus du grand massif enneigé et nous ne l’oublierons pas.



2013

 2 mars à Malaz, Assemblée générale

plus quelques rares images des CA


2013

22è Printemps du livre à Yenne (73)


2013

3è Mai de la Francophonie (Seynod)


2013

Journée du patrimoine à Clermont

Remise de la plume d'or à Chaoying Durand-Sun, la plume de vermeil à Viviane Sontag et Jean Mino est promu Ami de la SAS

 


PRESSE 2013


DOCUMENTS 2013


TEXTES 2013

Meilleurs vœux à tous

 

            Il n’est que de bonnes coutumes lorsqu’il s’agit de souhaiter meilleurs vœux à tous les amis. Dans la grande famille de la Société des Auteurs Savoyards, les vœux de chaque nouvel an se répandent via l’internet, le téléphone ou la carte de vœux. Et c’est heureux.

            4000 ans avant Jésus Christ, à Babylone, il était de tradition de prendre à cette occasion de bonnes résolutions. Figurez-vous que pour ces lointains ancêtres, la bonne résolution qu’ils prenaient avec enthousiasme était de rendre le matériel agricole emprunté !

Que pouvons-nous décider de faire et d’espérer pour 2013 ?

 

            Nous savons déjà qu’il y a l’Assemblée générale le premier samedi de mars à la Maison de Malaz. On peut décider d’y venir le plus grand nombre possible afin de montrer la vitalité de notre société. Et puis cette maison est Notre Maison. On peut aussi décider d’y organiser une animation pour l’après midi.

Nous savons également que le 6 avril se déroulera à Yenne en Savoie, sur les rives du Rhône, le 22è Printemps du Livre. On peut décider de s’y rendre en masse, histoire de montrer que les auteurs savent de déplacer et aller au devant des lecteurs.

Nous savons tout aussi bien que cette année 2013 verra la publication d’une nouvelle édition de Point à la Ligne. On peut décider de la diffuser au plus grand nombre, histoire de faire davantage connaître la SAS.

Cette année se dérouleront 6 soirées des Vendredis de Malaz. On peut décider d’aider encore plus notre ami Bruno qui se démène comme un beau Diable pour cette réussite. Tout comme on peut décider de participer encore plus au CPR avec Marijo. On peut également déjà s’investir dans le 23è Printemps du Livre ou l’annuaire 2014. On peut aussi décider de participer activement au choix des Plumes ou aux Conseils d’administration… On peut aussi donner un maximum de nos publications pour la médiathèque, on peut encore afficher le logo de la SAS en 4è de couverture de nos ouvrages en auto édition… On peut, on peut…

            On peut faire beaucoup de choses et alors les outils agricoles empruntés seront remboursés et les rives de l’Euphrate n’en seront que plus verdoyantes.

 

            La carte de vœux est également fort ancienne. Cette tradition des cartes de vœux agrémentées de quelques mots de politesse que l’on envoyait aux personnes avec qui on avait eu commerce d’amitié ou d’affaires pendant l’année écoulée, nous vient d’Extrême orient. Mais cette tradition n’est apparue en France ou en Savoie qu’au Moyen-âge et ce n’est qu’au XIXè siècle que l’usage en devint intensif. Je réponds par avance à toutes celles et à tous ceux qui depuis des années sacrifie à cette heureuse tradition : merci de tout mon coeur pour vos vœux et meilleurs vœux à tous pour 2013.

Quoiqu’il en soit je vous souhaite à toutes et à tous une belle réussite livresque, publications, dédicaces, conférences que sais-je encore ? Mais aussi et surtout je vous souhaite à tous beaucoup de bonheur et une excellente santé pour cette nouvelle année 2013 et pour toutes celles encore à venir.

Amitiés à Tous et à bientôt.



Edito Point à la Ligne2013

 

         Ce nouveau numéro de notre revue « Point à la ligne » est encore plus beau,  attirant et plus complet que les précédents. Et tout cela grâce à tous les auteurs qui s’y sont investis.

Cher lecteur, vous retrouverez au fil des pages toutes les informations possibles sur les nouveautés que les auteurs ont publiées en 2011 et 2012. Et vous comprendrez à quel point les auteurs de la SAS sont prolixes et passionnés. Leurs publications couvrent tous les champs de l’écrit avec un grand bonheur. Chacun y trouvera, j’en suis sûr, le sien.

Notre revue présente également comptes rendus des activités multiples de notre société : cérémonie des Plumes 2012 et 2013, les Vendredis de Malaz, le Cercle des Poètes Retrouvés …

Vous trouverez aussi des informations techniques : dates et lieux des prochaines grandes manifestations, les journées du livre, le Mai de la Francophonie 2013, les Vendredis de Malaz, mais aussi des textes envoyés par les auteurs.

Incontestablement cette revue, unique en territoire savoyard, a de quoi combler tout le monde.


ASSEMBLEE GENERALE (mars 2013)

RAPPORT MORAL


 

            Depuis plusieurs années, nos effectifs restent stables, ce qui tenterait à prouver que nous avons fait le plein. Je sais et nous savons qu’il n’en est rien. Certes, quelques auteurs nous connaissant ne désirent pas nous rejoindre, c’est leur droit le plus strict. D’autres n’osent pas…

Pourtant la SAS est et restera une grande famille dans laquelle la convivialité est primordiale. Nous sommes des amis, un peu spéciaux certes puisqu’on gratte du papier, mais des amis qui désirons faire un bout de chemin ensemble.

Alors ceux qui sont dehors pensent-ils qu’adhérer ne sert à rien ? C’est possible.

Que pouvons-nous faire de plus pour montrer notre vitalité ?

            Chaque année nous organisons deux salons du livre, le Printemps du Livre, salon itinérant allant à la rencontre des lecteurs et Clermont qui profite du cadre incomparable du château. Nous participons le mieux que nous pouvons au Salon des écrivains de Bonneville. Que toutes celles et tous ceux qui œuvrent pour ces réussites soient ici chaleureusement remerciés. La SAS a créé deux « filiales » : les Vendredis de Malaz menés de main de maitre par Bruno que l’on peut encore aider. Merci à ceux qui lui donnent un coup de main de temps en temps et le Cercle des Poètes Retrouvés sous la houlette de Marijo. Ce sont là deux belles réussites qu’il faut poursuivre avec l’aide de tous. Nous publions un annuaire tous les deux ans avec le concours précieux du Conseil général de la Haute-Savoie et la revue, Point à la ligne également bisannuelle afin de mieux présenter les œuvres de chacun d’entre nous. Nous entamons avec nos Amis vaudois une excellente coopération comme l’a prouvée cette rencontre dans les vignes de Lavaux. Le Mai de la Francophonie, auquel nous apportons notre savoir faire et surtout notre énergie et notre cœur, en partenariat avec la commune de Seynod où se trouve notre siège social, continue de nous apporter une grande satisfaction. Mais il y faut beaucoup d’énergie et de volonté. Enfin lorsque l’automne point, nous nous retrouvons à Clermont pour la cérémonie des Plumes d’Or et de Vermeil.

Quelle autre association d’écrivains peut en dire autant ?

Et tout cela n’est possible que parce bon nombre d’entre vous s’investissent au sein de la SAS. Un investissement, même ponctuel ou temporaire, apporte beaucoup de chaleur humaine et vous le savez tous, je l’ai maintes et maintes fois démontré, que toutes les initiatives sont bonnes à poursuivre. N’hésitez pas. Vous serez toujours les bienvenus.

Je voudrais particulièrement remercier mes « complices » du Conseil d’administration, qui inlassablement, quelque soit le temps ou la distance, se retrouvent autour de la table pour faire avancer la Société : Jacques Grouselle, secrétaire perpétuel infatigable, Jean Claude Bibloque trésorier scrupuleux, Roger Moiroud vice-président attentif, constructif et mesuré, Marijo Thabuis qui pousse le CPR, Bruno Arts qui vient avec le site, la revue et plein d’idées dans la tête, Bernard Prêtre et Jean Travers dont les conseils sont toujours les bienvenus, Jean René Farrayre qui pour son retour nous est d’un grand secours. Sans oublier Daniel Fraissard qui se bat avec les médias et ce n’est pas simple, Léo Gantelet, Michel Berthod et Geneviève Biffiger pour la Francophonie, Solange Jeanberné spécialiste du Press-book… Et nous n’oublions pas Juliette et Gérard Chatel.

Soyez tous chaleureusement remerciés au nom de tous les membres actuels et à venir de la Société des Auteurs Savoyards.

Michel GERMAIN Président